Les Jeunes Libéraux-Radicaux Vaud renouvellent leur Comité

Les Jeunes Libéraux-Radicaux Vaudois (JLRV) ont renouvelé leur Comité et pris position sur les objets de votation du 10 juin. Réunis en Assemblée générale à Echichens, les JLRV ont élu Antoine Müller (Cheseaux-sur-Lausanne) à la tête du parti. Ils ont également refusé l’initiative « Monnaie pleine » ainsi que la loi sur les jeux d’argent (LJAr).

Le nouveau Comité des JLRV

(de g. à d. Philippe Loertscher (membre du Comité), Michel Aebi (Trésorier), Noémie Villois (membre du Comité), Luc-Olivier Stramke (Vice-Président), Antoine Müller (Président), Léonie Wahlen (membre du Comité) et Maxime Meier (Secrétaire général)

Après deux ans passés à la Présidence, couronnés par l’aboutissement de l’initiative populaire « Une baisse d’impôts pour la classe moyenne ! » dont il a été le créateur, Loïc Hautier (Etoy) a donc choisi de remettre son mandat. Antoine Müller, 24 ans, étudiant en Science politique à l’Université de Lausanne, se réjouit de pouvoir se mettre au service des JLRV et de préparer au mieux le parti pour les prochaines élections fédérales. De son côté, Loïc Hautier ne quitte pas la vie politique vaudoise. Il reste, entre autres, Président du comité de l’initiative.

Ont également été élus : Luc-Olivier Stramke, Vice-Président, Vallorbe | Maxime Meier, Secrétaire, Bretigny-sur-Morrens | Michel Aebi, Trésorier, Trey | Léonie Wahlen, membre du comité, Gland | Noémie Villois, membre du comité, Gland | Philippe Loertscher, membre du comité, Lutry.

Concernant les votations du 10 juin prochain, l’initiative « Monnaie pleine » a été balayée à l’unanimité des membres présents. Cette expérimentation économique hasardeuse met en péril la place économique suisse et par conséquent un nombre important d’emplois. Les JLRV ont également rejeté à une très large majorité la LJAr. Cette loi, imposée par le lobby des casinos, est inacceptable. De l’avis des JLRV, la loi est un non-sens, tant sur le plan économique que technique. Il faut intégrer les acteurs étrangers au marché suisse par le biais de concessions qui permettent de réguler et d’encadrer efficacement l’activité des sites étrangers dans l’intérêt des consommateurs.